N'allez pas là où le chemin peut mener, allez là où il n'y a pas de chemin et laissez une trace !


Esquisse par ©Le long pour le mur des Flamants roses sis 1 rue des Bruyères aux Lilas

Fleurs jaunes (1)

Toute la journée, je l'ai passé au jardin. A la toute fin, j'ai semé du gazon. Mais auparavant,  j'avais sévèrement désherbé, notamment ces fleurs jaunes, très urticantes, qui font florès sur nos terres calcaires du nord-est du bassin parisien. Elles atteignent jusqu'à environ ma taille, mais elles ont cette faculté de se coucher, lorsque le poids des fleurs est devenu trop lourd, sans que la tige en soit nullement affectée. Ce qui leur permet de résister vaillamment à tout les orages de grêle ou aux pas malencontreux dans la prairie de fleurs qui les abritent... ce jardin métropolitain.

Le jardin, vu d'en haut.

Serge Gainsbourg - Le Poinçonneur des Lilas, 1959



Je pense qu'il s'agit de la première prestation télévisée de Serge Gainsbourg J'en connais le texte par coeur (rédigé par Boris Vian) depuis l'intégrale publiée circa 1988, dont cet enregistrement est le premier titre.

Pte des Lilas


Pourquoi les stations de métro : Pelleport, St-Fargeau et ici Pte des Lilas sont -à l'inverse de celles de l'ensemble de la capitale- situées au-dessus du niveau de la rue ? et comprennent-elles ce que la RATP nomme pompeusement du nom de "édicule"


Parce qu'elles sont dotées d'un ascenseur. En effet elles se situent parmi les stations les plus en profondeur, avec une moyenne d'une centaine de mètres, le record allant à la station d'une autre ligne : Télégraphe avec (de mémoire) 120m de profondeur. Mais celle-ci ne dispose pas d'ascenseur! Cela tient à l'altitude naturelle mais aussi à la composition friable du sol, spécialement aggravée par la longue exploitation de carrières alentour.