Descendant spirituel du citoyen Jean-Jacques, aux Etats-Unis, fondateur de la pensée transcendantaliste, qui s'appuie sur deux axes : l'importance de notre environnement naturel sur nos actes et la croyance que la société corrompt les moeurs et le coeur des hommes. Son motto, je l'ai mis en exergue de ce blog.
Ralph Waldo Emerson: son poème sur la réussite
Rire souvent et beaucoup aimer;
Gagner le respect d’êtres intelligents et l’affection des enfants;
Obtenir l’approbation de critiques honnêtes et supporter la trahison d’amis peu sincères;
Apprécier la beauté;
Voir ce qu’il y a de meilleur dans les autres;
Donner de soi-même sans rien attendre en retour;
Rendre le monde un peu meilleur que ce soit par la grâce d’un enfant en bonne santé, d’une âme sauvée, d’un carré de jardin ou d’une condition sociale meilleure;
Avoir ri avec enthousiasme et chanté de tout son cœur;
Savoir qu’un seul être a mieux respiré parce que vous avez vécu.
C’est cela la réussite.
Origine du renouveau local
La montée en puissance des approches de développement local résulte
d'une série de constats qui concourent à valider des mouvements d'idées
et parfois des expériences menées depuis plusieurs décennies.
Au cours des années quatre-vingt, les stratégies de développement menées sous l'égide des Etats manifestent leurs limites. La concentration des pouvoirs économiques, culturels, techniques dans leurs mains ne permet plus d'assurer la cohérence nécessaire pour soutenir les processus de développement. Dans les pays du Sud, les efforts des ONG mais aussi de très nombreux autres opérateurs comme les sociétés de développement pour "organiser les populations" ont conduit à l'apparition d'organisations réellement représentatives qui acquièrent des capacités de négociation avec le pouvoir central. En France, comme dans de nombreux pays d'Europe, l'effritement, certains diront l'effondrement des corps intermédiaires d'envergure nationale (syndicats, grandes organisations d'éducation populaire, organisations et mouvements confessionnels...), ouvre un espace aux organisations de proximité.
Par ailleurs l'émergence des questions d'environnement porte à un niveau politique des débats antérieurement limités aux techniciens (sur la production d'énergie ou l'industrialisation de l'agriculture par exemple...). "Penser global, agir local" rend compte de la demande des acteurs locaux d'être partie prenante aux décisions qui les concernent. Plus généralement, responsables politiques et opérateurs de développement sont de plus en plus convaincus qu'il n'y a pas de développement possible sans prise en compte des références sociales et culturelles des populations concernées. Chaque région, chaque terroir même, a des traits qui lui sont spécifiques dont il faut tenir compte dans l'élaboration des processus de développement et plus encore dans leur conduite. Il s'agit dès lors de revitaliser des formes de solidarités locales face aux contraintes imposées par les mécanismes économiques (prix des matières premières, logique techniciste du développement…) et par les instances politiques nationales (parti unique, remontées de toutes les décisions au niveau central…). L'action locale apparaît d'autant plus indispensable que les efforts demandés aux populations pour assurer le développement leur apparaissent sans résultat sur leur niveau de consommation et sur leurs conditions de vie.
Au cours des années quatre-vingt, les stratégies de développement menées sous l'égide des Etats manifestent leurs limites. La concentration des pouvoirs économiques, culturels, techniques dans leurs mains ne permet plus d'assurer la cohérence nécessaire pour soutenir les processus de développement. Dans les pays du Sud, les efforts des ONG mais aussi de très nombreux autres opérateurs comme les sociétés de développement pour "organiser les populations" ont conduit à l'apparition d'organisations réellement représentatives qui acquièrent des capacités de négociation avec le pouvoir central. En France, comme dans de nombreux pays d'Europe, l'effritement, certains diront l'effondrement des corps intermédiaires d'envergure nationale (syndicats, grandes organisations d'éducation populaire, organisations et mouvements confessionnels...), ouvre un espace aux organisations de proximité.
Par ailleurs l'émergence des questions d'environnement porte à un niveau politique des débats antérieurement limités aux techniciens (sur la production d'énergie ou l'industrialisation de l'agriculture par exemple...). "Penser global, agir local" rend compte de la demande des acteurs locaux d'être partie prenante aux décisions qui les concernent. Plus généralement, responsables politiques et opérateurs de développement sont de plus en plus convaincus qu'il n'y a pas de développement possible sans prise en compte des références sociales et culturelles des populations concernées. Chaque région, chaque terroir même, a des traits qui lui sont spécifiques dont il faut tenir compte dans l'élaboration des processus de développement et plus encore dans leur conduite. Il s'agit dès lors de revitaliser des formes de solidarités locales face aux contraintes imposées par les mécanismes économiques (prix des matières premières, logique techniciste du développement…) et par les instances politiques nationales (parti unique, remontées de toutes les décisions au niveau central…). L'action locale apparaît d'autant plus indispensable que les efforts demandés aux populations pour assurer le développement leur apparaissent sans résultat sur leur niveau de consommation et sur leurs conditions de vie.
Un jour, Une Rue #4
La rue des Montiboeufs est une voie du village de Charonne. Sa toponymie en indique l'usage, qui est de relier les pâturages du haut de la colline au centre. Ici une marelle dressée dans le quartier.
Un jour, Une Rue #3
La rue de la Fontaine-au-Roi, témoigne de la captation des sources des collines de Belleville, le premier conduit arrosait la lèproserie de Saint-Lazare, a priori située vers Gare de l'Est et le second, Le Louvre, d'où le nom de la rue.
L'imagination au pouvoir
C'est une vieille antienne soixante-huitarde, qui traduit la révolution romantique de l'individu contre le collectif. Car l'imagination est une qualité singulière et est rarement portée par un collectif. Finalement, il n'est de plus difficile que de s'arracher à la force de l'inertie et de s'autoriser à imaginer la vile, toutefois, on a tous à y gagner, ensemble ! Soit on gagne ensemble, soit on perd tous !
Un jour, Une Rue #2
La rue de Ménilmontant, tient son nom de l'expression" Ménil-mau-temps", qui signifie, la petite maison au mauvais temps. Cette rue qui poursuit la rue Oberkampf, du nom de ce manufacturier, est une artère des anciennes communes de Charonne et de Ménilmontant. L'ancienne Mairie de Belleville y était située, avant le rattachement à Paris, en 1860.
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